Le magazine Closer furieux après une condamnation judiciaire
Closer est semaine furieux après une condamnation judiciaire qui "barre la moitié de la couverture", fustige Laurence Pieau, la directrice de la rédaction du magazine.
Elle explique dans son édito hebdomadaire que cette ""publication judiciaire" ordonnée par un juge qui a imposé très précisément que soient utilisés d'énormes caractères pour publier un texte surmonté d'un grand "Closer condamné", comme si nous étions marqués du sceau de l'infamie."
Et d'ajouter que le juge a statué en référé, autrement dit en urgence: "le préjudice subi était tellement important qu'il exigeait réparation dans les plus brefs délais (les justiciables qui attendent depuis des années apprécieront...";.
En cause, un papier "respectueux, illustré de photos qui ne sont pas des photos volées, mais des clichés officiels sur lesquels la magnifique Charlotte (Charlotte Casiraghi, ndlr) posait, tout à son avantage. Avoir raconté une très jolie histoire d'amour."., ajoute Laurence Pieau.
La directrice de la rédaction poursuit: "Mais "L'atout charme du Rocher" veut tout maîtriser des informations qui la concernent et décider elle-même de convoquer la presse quand ça l'arrange.".
Et de révéler "Pour avoir publié cet article, avoir écrit ce sujet gai et léger, - on insiste! - nous sommes condamnés à payer 10.000 euros à l'intéressée. Et à publier cette PJ qui demeure une spécificité française."
La Une de cette semaine:
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