Retour des ex-otages en direct: Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier attendus à Paris
AFGHANISTAN - Ils doivent arriver à l'aéroport militaire de Villacoublay dans la matinée...
7h24: Il y a eu une rançon de payée, selon un expert
Frédéric Helbert, un grand reporter, consultant pour la chaîne BFM TV, assure tenir d'une source très sûre qu'une rançon «de quelques millions d'euors» a bien été versée aux talibans, directement à leurs chefs en Afghanistan.
7h21: Les médias éloignés pour le retour des otages
Une fois n'est pas coutume, la discrétion sera de mise pour le retour des otages. L'avion devrait atterir loin des caméras et les deux journalistes seront accueillis, toujours loin des médias, par Nicolas Sarkozy et leurs familles. Un point presse devrait être organisé dans la foulée sur le tarmac de l'aéroport pour que les ex-otages puissent s'exprimer.
7h20: Les otages sont attendus en France entre 8h30 et 8h45.
7h16: Les deux otages «dans une forme absolument remarquable»
A l'ambassade de France à Kaboul, l'ex-directeur des programmes de France 3 Paul Nahon a pu parler aux otages: «Ils vont très bien, ils sont en forme. L’un et l’autre ont un peu maigri après un an et demi de privation, mais ils sont dans une forme intellectuelle et physique absolument remarquable», a-t-il affirmé sur Europe 1.
Retenus pendant 18 mois par les talibans en Afghanistan, les deux journalistes de France 3 sont attendus ce jeudi matin en France, au lendemain de leur libération. Les deux hommes ont quitté Kaboul mercredi soir à bord d’un avion militaire. Nicolas Sarkozy devrait être sur place pour accueillir les ex-otages.
D’après plusieurs témoins, les deux hommes, enlevés le 29 décembre 2009, sont en très bonne forme. «Ils vont très bien, ils sont en forme. L’un et l’autre ont un peu maigri après un an et demi de privation, mais ils sont dans une forme intellectuelle et physique absolument remarquable», a expliqué sur Europe 1 Paul Nahon, l’ancien directeur des programmes de France 3.
On dispose pour le moment de peu d’informations sur les conditions de leur libération mais Alain Juppé, le ministre des Affaires étrangères, a affirmé mercredi soir que «la France ne paie pas de rançon». Leur interprète, Reza Din, a également été libéré. Les deux autres accompagnateurs ont été libérés «il y a un certain temps», mais cette libération n'avait pas été rendue publique pour des raisons de sécurité, a-t-il ajouté.