République dominicaine: Alain Joyandet va aller chercher les deux Françaises graciées
JUSTICE - Le secrétaire d'Etat à la Coopération va se rendre samedi en République Dominicaine ...
C'est une année qui se termine bien pour les deux jeunes femmes. Le gouvernement dominicain a gracié mercredi deux Françaises, Sarah Zaknoun et Celine Faye, condamnées fin 2008 à huit de prison pour trafic de drogue.
«J'ai eu ma fille au téléphone, elle pleurait de joie»
Le secrétaire d'Etat à la Coopération Alain Joyandet va se rendre samedi en République Dominicaine pour ramener en France les deux jeunes filles. Leur libération a été une «grande surprise» pour la mère de Céline Faye, Pascale Jackson. «Elles rentrent en France, elles sont libres», s'est réjouit la maman, qui a appris mardi matin à une heure que le président de la République dominicaine Leonel Fernandez avait signé un décret graciant les deux femmes.
«J'ai eu ma fille au téléphone, elle pleurait de joie, c'est vraiment un beau cadeau de Noël», raconte Pascale Jackson.
Une tradition de Noël
A l'occasion des fêtes de Noël, le président de la République dominicaine Leonel Fernandez a signé un décret graciant les deux jeunes femmes ainsi qu'un Américain et deux ressortissants dominicains, a annoncé la présidence sur son site Internet.
La grâce présidentielle est une tradition de Noël que la république dominicaine octroye généralement pour des raisons humanitaires et qui dans la majorité des cas se traduit par un pardon absolu.
Six kilos de cocaïne dans leurs bagages
Lors d'une visite à Paris au début décembre, le président Leonel Fernandez avait déclaré que les deux jeunes Françaises pourraient être de retour en France avant Noël pour y purger le reste de leur peine.
Le président de République dominicaine était interrogé sur les cas de Sarah Zaknoun (19 ans) et Céline Faye (20 ans), qui avaient été condamnées à huit ans de prison pour trafic de drogue en 2008, après la découverte de six kilos de cocaïne dans leurs bagages. Elles avaient affirmé que la drogue a été placée dans leurs valises.
Le 16 décembre, le Sénat dominicain avait approuvé une convention de transfèrement des détenus, ouvrant la voie à un retour de Français emprisonnés dans ce pays des Antilles. La signature de cette convention avait été annoncée en novembre par le secrétaire d'Etat français à la Coopération Alain Joyandet.
«J'ai eu ma fille au téléphone, elle pleurait de joie»
Le secrétaire d'Etat à la Coopération Alain Joyandet va se rendre samedi en République Dominicaine pour ramener en France les deux jeunes filles. Leur libération a été une «grande surprise» pour la mère de Céline Faye, Pascale Jackson. «Elles rentrent en France, elles sont libres», s'est réjouit la maman, qui a appris mardi matin à une heure que le président de la République dominicaine Leonel Fernandez avait signé un décret graciant les deux femmes.
«J'ai eu ma fille au téléphone, elle pleurait de joie, c'est vraiment un beau cadeau de Noël», raconte Pascale Jackson.
Une tradition de Noël
A l'occasion des fêtes de Noël, le président de la République dominicaine Leonel Fernandez a signé un décret graciant les deux jeunes femmes ainsi qu'un Américain et deux ressortissants dominicains, a annoncé la présidence sur son site Internet.
La grâce présidentielle est une tradition de Noël que la république dominicaine octroye généralement pour des raisons humanitaires et qui dans la majorité des cas se traduit par un pardon absolu.
Six kilos de cocaïne dans leurs bagages
Lors d'une visite à Paris au début décembre, le président Leonel Fernandez avait déclaré que les deux jeunes Françaises pourraient être de retour en France avant Noël pour y purger le reste de leur peine.
Le président de République dominicaine était interrogé sur les cas de Sarah Zaknoun (19 ans) et Céline Faye (20 ans), qui avaient été condamnées à huit ans de prison pour trafic de drogue en 2008, après la découverte de six kilos de cocaïne dans leurs bagages. Elles avaient affirmé que la drogue a été placée dans leurs valises.
Le 16 décembre, le Sénat dominicain avait approuvé une convention de transfèrement des détenus, ouvrant la voie à un retour de Français emprisonnés dans ce pays des Antilles. La signature de cette convention avait été annoncée en novembre par le secrétaire d'Etat français à la Coopération Alain Joyandet.