L'incroyable image de Strauss-Kahn menotté - Regardez
Dominique Strauss-Kahn a quitté dimanche vers 23 heures (5 heures, heure de Paris), menotté dans le dos, le commissariat de New York où il était détenu samedi.
La comparution de Dominique Strauss-Kahn, inculpé dimanche d'agression sexuelle, de séquestration et de tentative de viol, devant un juge de New York a été reportée à lundi pour permettre à la police de procéder à des analyses supplémentaires, a annoncé dimanche soir un avocat du directeur général du FMI.
DSK va se défendre "vigoureusement" contre les accusations de tentatives de viol qui sont portées contre lui, a-t-il ajouté .
La police de New York a obtenu un nouveau mandat pour examiner les vêtements de Dominique Strauss-Kahn, accusé d'agression sexuelle, à la recherche de nouvelles traces d'ADN, a précisé un porte-parole de la police.
Un nouveau mandat "a été obtenu pour ses vêtements" afin de rechercher "de l'ADN", a expliqué John Grimpel, de la police de New York (NYPD).
Les traces d'ADN recherchées pourraient être "des cheveux, du sperme", ou autre, a-t-il précisé, ajoutant que la police souhaitait en obtenir un autre pour réaliser une fouille corporelle. A la question de savoir si la police entend chercher des traces de griffures comme l'ont indiqué des médias américains, Grimpel a acquiescé : "oui, c'est ce qui se passe".
La comparution de Dominique Strauss-Kahn, inculpé dimanche d'agression sexuelle, de séquestration et de tentative de viol, devant un juge de New York a été reportée à lundi pour permettre à la police de procéder à des analyses supplémentaires, a annoncé dimanche soir un avocat du directeur général du FMI.
DSK va se défendre "vigoureusement" contre les accusations de tentatives de viol qui sont portées contre lui, a-t-il ajouté .
La police de New York a obtenu un nouveau mandat pour examiner les vêtements de Dominique Strauss-Kahn, accusé d'agression sexuelle, à la recherche de nouvelles traces d'ADN, a précisé un porte-parole de la police.
Un nouveau mandat "a été obtenu pour ses vêtements" afin de rechercher "de l'ADN", a expliqué John Grimpel, de la police de New York (NYPD).
Les traces d'ADN recherchées pourraient être "des cheveux, du sperme", ou autre, a-t-il précisé, ajoutant que la police souhaitait en obtenir un autre pour réaliser une fouille corporelle. A la question de savoir si la police entend chercher des traces de griffures comme l'ont indiqué des médias américains, Grimpel a acquiescé : "oui, c'est ce qui se passe".
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