Foot: Les radios françaises prêtes au boycott !
Les radios françaises refusent d'assurer la couverture du match retour de Ligue des champions entre Manchester United et Marseille, le 15 mars à Old Trafford, le club mancunien leur réclamant 26.000 euros chacune au titre des droits de retransmission, a-t-on appris vendredi auprès de Jacques Vendroux, directeur des sports de Radio France.
Ce mouvement de protestation concerne, outre Radio France et ses deux stations France Info et Radio Bleu Provence, RTL, Europe 1 et RMC, a précisé Jacques Vendroux.
"Il y a deux semaines, Manchester United a demandé 26.000 euros de droits par radio alors que les Anglais qui étaient là mercredi (pour le match aller, ndlr) ont pu travailler gratuitement. Mais il y a unanimité pour ne pas couvrir le match", a déclaré à l'AFP Jacques Vendroux.
"Il s'agit de la somme la plus exorbitante réclamée pour un match de football depuis que la Ligue des champions existe. C'est du jamais vu et ce serait une première. On boycotte ce racket", a-t-il ajouté.
Le patron des Sports de Radio France a indiqué avoir alerté "personnellement" le président de l'UEFA Michel Platini. "Il m'a dit qu'il allait s'en occuper et qu'il allait transmettre le dossier au service concerné", a expliqué Jacques Vendroux.
Ce mouvement de protestation concerne, outre Radio France et ses deux stations France Info et Radio Bleu Provence, RTL, Europe 1 et RMC, a précisé Jacques Vendroux.
"Il y a deux semaines, Manchester United a demandé 26.000 euros de droits par radio alors que les Anglais qui étaient là mercredi (pour le match aller, ndlr) ont pu travailler gratuitement. Mais il y a unanimité pour ne pas couvrir le match", a déclaré à l'AFP Jacques Vendroux.
"Il s'agit de la somme la plus exorbitante réclamée pour un match de football depuis que la Ligue des champions existe. C'est du jamais vu et ce serait une première. On boycotte ce racket", a-t-il ajouté.
Le patron des Sports de Radio France a indiqué avoir alerté "personnellement" le président de l'UEFA Michel Platini. "Il m'a dit qu'il allait s'en occuper et qu'il allait transmettre le dossier au service concerné", a expliqué Jacques Vendroux.