Alerte à la bombe à TF1 pour une TV réalité de France 2
Un homme, mécontent de la diffusion d'une émission de téléréalité sur France 2, a été interpellé le 18 mars au lendemain de deux appels au siège de TF1 pour une alerte à la bombe, au nom de l'ETA, a révélé mercredi PPrama, la lettre hebdomadaire de la préfecture de police.
Le 17 mars vers 12H30, le standard téléphonique de TF1 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) reçoit deux appels anonymes, à 20 minutes d'intervalle. Un homme, à la voix calme, déclare à son interlocuteur: "Vous avez une heure pour évacuer le bâtiment, signé l'ETA".
La menace est prise au sérieux et des policiers sont dépêchés sur place pour contrôler les abords immédiats du bâtiment alors que les agents de sécurité de la première chaîne de télévision effectuent une visite des locaux. Au terme de cette inspection, aucun objet suspect ne sera retrouvé.
La brigade de sûreté urbaine de Boulogne-Billancourt, chargée de l'enquête, parvient à identifier l'auteur présumé des appels malveillants qui est interpellé le lendemain et placé en garde à vue.
Lors de son audition, il racontera qu'il n'avait pas apprécié la diffusion, le 17 mars au soir par France 2, d'une émission de téléréalité ("Le jeu de la mort", documentaire choc sur le pouvoir de la télévision) et qu'il voulait le faire savoir, mais qu'il s'était trompé de chaîne.
Le 17 mars vers 12H30, le standard téléphonique de TF1 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) reçoit deux appels anonymes, à 20 minutes d'intervalle. Un homme, à la voix calme, déclare à son interlocuteur: "Vous avez une heure pour évacuer le bâtiment, signé l'ETA".
La menace est prise au sérieux et des policiers sont dépêchés sur place pour contrôler les abords immédiats du bâtiment alors que les agents de sécurité de la première chaîne de télévision effectuent une visite des locaux. Au terme de cette inspection, aucun objet suspect ne sera retrouvé.
La brigade de sûreté urbaine de Boulogne-Billancourt, chargée de l'enquête, parvient à identifier l'auteur présumé des appels malveillants qui est interpellé le lendemain et placé en garde à vue.
Lors de son audition, il racontera qu'il n'avait pas apprécié la diffusion, le 17 mars au soir par France 2, d'une émission de téléréalité ("Le jeu de la mort", documentaire choc sur le pouvoir de la télévision) et qu'il voulait le faire savoir, mais qu'il s'était trompé de chaîne.